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  • : le blog shiisme
  • : Bienvenue à tous, ce site comme vous pouvez le constater décrit les principes fondamentaux de l'islam et en particulier du chiisme. Un site qui se voit comme un lieu d'échange d'informations dans l'intention de faire partager ce qu'est réellement le chiisme à partir de sources fiables et non de rumeurs malhonnete comme en circulent tellement sur internet.
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18 janvier 2010 1 18 /01 /janvier /2010 23:27

taj-mahal







Il y a bien longtemps, en Inde (du temps où l'Inde n'était pas divisée), dans une famille chrétienne naquit une fille.
Les parents étaient très contents car ils n'avaient pas d'autres enfants. Ils ont bien élevé leur fille, l'ont tout donné, la meilleure éducation possible.

Mais, cette fille par nature, était réservée, ne sortait pas de la maison, même quand ses parents insistaient pour qu'elle vienne à l'Eglise avec eux. Elle préférait rester à la maison.
 

Il y avait un précepteur, qu'on appellle le Qazi en Urdu, musulman, qui venait donner des cours aux enfants chez cette famille chrétienne, on lui avait donné le droit de faire la prière chez eux, quand il était l'heure, dans un coin, un endroit lui était réservé. Mais, il ne devait pas parler de l'Islam aux enfants, il devait s'en tenir aux leçons.

Ce Qazi était un bon musulman mais était de nature très peureuse, il avait très peur au fond de lui.
Un jour, alors que le Qazi était entrain de faire la prière de Magreb, la fille sortit de sa chambre, et passa derrière le Qazi, elle s'arrêta pour l’entendre prier (car le Qazi avait tendance à lire un peu à haute voix) elle trouva le son magnifique, les paroles très belles même s’elle ne savait pas ce que cela signifiait.

Elle continua ainsi chaque jour, elle allait en cachette, se mettre derrière le Qazi en prière pour l'écouter. Son cœur se remplissait de bonheur et elle voulut en savoir plus sur cette façon de prier et elle voulut en apprendre pour que son cœur s’apaise.


Elle demanda à son père si elle pouvait recevoir les cours du Qazi, ses parents ne purent refuser cette permission car leur fille ne demandait presque jamais rien. Donc, quand elle formula cette demande, ils ne purent que se réjouir.

Ainsi, lorsqu'elle se trouva toute seule avec le Qazi, elle lui a fait part de sa manière d'écouter la prière et son vœu d'en apprendre davantage sur l'Islam. Le Qazi, pris peur, car il redoutait le moment si ses parents apprennent qu'il est entrain de parler de l'Islam à leur fille. Elle insista pour qu'il lui apprenne mais le Qazi lui dit :

"Je ne peux t'apprendre comme cela, je t'apporterai des livres que tu pourras lire et apprendre".

Elle fut ravie. Le lendemain, il apporta les livres en cachette et les remit à la fille qui s'empressa de les emmener dans sa chambre pour les lire. Il lui apporta ainsi plusieurs livres, dès qu'elle en finissait un, son cœur s'illuminait et son amour pour cette religion augmentait.

Lorsqu'elle eut fini tous les livres, elle leva les yeux vers le ciel, et dit "O Allah, Je te prends pour témoin et je deviens musulmane." Elle récita l'attestation de foi, et effectua la prière de Magreb, dès qu'elle eut fini, elle alla voir le Qazi et lui dit qu'elle est s’était convertie à l’Islam.

Il fallait qu'il en soit témoin comme le préconise l'Islam. Le Qazi fut content et en même temps effrayé, il lui recommanda de garder le secret de sa conversion et de pratiquer sa religion en cachette. Il avait peur des représailles des parents.

Elle en fit ainsi, comme personne ne pouvais venir dans sa chambre, elle priait dans celle ci à l'abri des regards sauf celui du Tout Puissant.

Depuis qu'elle était devenue musulmane, son visage rayonnait, le « Noor », cette lumière divine, émanant de son visage fut remarquée par tout le monde, ainsi que le prêtre, qui disait que c'était une fille pieuse et c'est pour cela que le Seigneur éclairait son visage. Mais, ce qu’ils ne savaient pas c’est que cette « Noor » était dû au fait qu'elle se nourrissait de l'amour d'Allah et de son messager.

Un jour, le Qazi remarqua que la fille ne venait pas à ses cours, et qu'il ne l'avait pas vu depuis plusieurs jours, il demanda à une servante où elle était. Celle-ci lui répondit qu'elle était malade et qu'elle était au lit.

Le second jour, la fille demanda à voir le Qazi, qui se rendit à son chevet. Quand tout le monde fut sorti et qu'elle resta seule avec le Qazi, elle lui dit:

"Je vais mourir."

Le Qazi lui répondit qu'il ne faut pas dire cela, il ne faut pas désespérer car c’est interdit de désespérer en Islam, il faut croire en Allah et qu'elle se remettra.

Elle lui répliqua :

"Non, je ne désespère pas, mais je vois ma mort qui arrive et je sais que je vais partir. Je voudrai juste que vous me rendiez un service.

C'est que comme personne d'autre ne connaît ma conversion à l'Islam, et comme je ne veux pas que mes parents soient déçu et que les autres s'en prennent à eux et disent du mal à cause de moi, je voudrai que vous les laissiez faire pour mon enterrement, les laisser m'enterrer dans le cimetière chrétien, mais dès que le soir sera venu, vous irez à ma tombe et vous sortirez mon corps et l'enterrerez de nouveau dans le cimetière musulman après avoir effectuer la prière du défunt (le "Janaza") c'est mon vœu d'être enterrée en musulmane."

Le Qazi fut surpris, effrayé mais accepta de réaliser son dernier souhait.

Quelques jours après, la fille décéda. On fit une belle cérémonie d'enterrement et on l'enterra dans le cimetière chrétien car personne n'a su qu'elle s’était convertie à l’Islam.

Le Qazi était parti avec le cortège et avec repéré la tombe car il devait revenir la nuit. Il en fit ainsi, accompagné de 4 autres amis, à qui il avait raconté cette histoire.


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Au début, ils ne voulaient pas trop le suivre mais ils ont estimé que le souhait d'un défunt doit être exaucé. Ils repérèrent la tombe, et dès qu'ils creusèrent et soulevèrent le couvercle, ils virent le corps d'un homme. Tous les cinq furent très surpris.
L’un deux, remarqua que cet homme habitait le village d’à côté et que c’était un musulman. Les amis demandèrent au Qazi si c’était bien la tombe de la fille et qu’il ne s’était pas trompé.

Le Qazi certifia que la tombe était bien celle-ci. Ils remirent le corps dans la tombe et s’en allèrent. Le Qazi ne comprenait pas ce qu’il devait faire maintenant et où chercher le corps de la fille. Ils se dirent que comme le corps de ce musulman était ici, celui de la fille peut être se trouverai au cimetière musulman.

Ils se rendirent dans le village d’à coté, ils ont su que l’homme en question venait de mourir il n’y a pas longtemps de cela, et qu’on l’avait enterré au cimetière musulman.

Le Qazi et ses amis demandèrent à qu’on leur montre la tombe pour qu’ils fassent une prière (« duwa Fateha »). Ils pensèrent qu’ils allaient revenir la nuit et comme la fille doit être à la place du musulman, ils n’auraient plus qu’à l’enterrer en effectuant son « Janaza ».

La nuit tombée, ils allèrent dans la cimetière musulmane et creusèrent la tombe du musulman. Mais là, ils ne trouvèrent pas la fille, à sa place ils trouvèrent un Arabe. Tous furent encore une fois surpris et enterrent de nouveau l’Arabe dans la tombe et partirent. Il ne comprenaient pas où bien peut être le corps de la fille.

Le Qazi fut très anxieux et ne savait plus quoi faire. La nuit, il fit un rêve. La fille lui apparut en rêve, tout en blanc et lui dit :

« Je sais que vous avez essayé d’exaucer mon souhait, mais je sais que vous avez trouvé le musulman dans ma tombe. Il était certes musulman, mais aimait plus les chrétiens et les pratiques chrétiennes et en son fort antérieur, son souhait le plus cher était d’être enterré dans une cimetière chrétienne. Ce fut ainsi que son corps fut transporté dans ma tombe.

Ensuite, vous vous demandez comment le corps de cet Arabe de l’Arabie Saoudite se trouvait dans la tombe du musulman.
En fait ce malheureux Arabe habitait à Médina, et son souhait était de voir l’Inde, et d’y être enterré ici. Donc son corps se retrouva dans la tombe du musulman.

Et moi, que demander de plus que d’être sur les terres bénies, sur les terres du prophète Muhammad   , je n’ai pas besoin de la prière Mortuaire, car elle est celebréepar les Anges. Ma tombe se trouve à Médina et je suis très heureuse. »

Le Qazi se réveilla et raconta le rêve à ses amis, ils se prosternèrent sur le champ, ils étaient des musulmans mais là en voyant ce qui venait de leur arriver, ils quittèrent le monde matériel pour se consacrer à Allah. Ce fut un rappel pour eux aussi et également un miracle d’Allah. "

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 23:40

bebe_berceau.jpg


Je ne dépassais pas la trentaine quand mon épouse eut le 1er enfant.

Et je me rappelle encore cette nuit que j’ai passé en compagnie de mes copains jusqu’au bout de la soirée très tardivement donc et on parlait de tout et de rien mais beaucoup plus de rien des choses peu importantes et même banales.

J’ai toujours été celui qui sait faire rire les autres . Je savais imiter quiconque et toutes les voix.

Et cette nuit là je les avait fait beaucoup rire.

C’était ma passion et mon savoir faire.

Tout le monde y passait donc je ridiculisais tout le monde avec mes plaisanteries et il y’en avait qui évitaient de me rencontrer pour éviter d’être sujet d’un amusement d’une soirée.

Et je me rappelle que ce jour là je leur racontais l’histoire d’un aveugle rencontré le matin même dans un marché et à qui j’ai donné un cloche pied et le gars est tombé se relevant et cherchant bêtement qui l’a fait tomber il paraissait ridicule alors qu’il ne voit pas.

Et moi j’ai éclaté de rire sur lui au point où ça raisonnait dans tout le marché.

Cette nuit là donc je suis rentré très tardivement, j’ai trouvé ma femme la larme aux yeux qui m’attendait en me disant mais où étais tu donc ?

Elle paraissait très fatiguée. Elle allait accoucher.

Une larme s’écoula sur son visage j’ai senti alors que j’ai abandonné ma femme au moment où elle avait besoin de moi.

Je l’accompagne vite fait à l’hôpital donc et dans la salle d’attente j’ai attendu longuement et elle, entre temps souffrait terriblement des heures sont passées et pas encore accouché.

Epuisé je suis rentré chez moi en laissant mon numéro de téléphone pour qu’ils m’appellent quand s’est fait.

Quelques heures passent et ils m’appellent. j’y cours. Je demande à voir mon enfant ils me disent non tu vas d’abord voir le médecin. Je dis pourquoi ? j’ai besoin de voir mon fils pas le médecin et on insistât que j’aille voir le médecin accoucheur d‘abord.

Ce que je fais. Elle me dit votre bébé a une malformation dans ses yeux et il paraît être même aveugle.

J’ai pris ma tête entre mes mains repoussant ma colère et ma souffrance à cet état de fait et me rappela tout de suite l’aveugle du matin et ce que je lui ai fait.

Je suis resté comme une statut ne sachant que faire puis je me suis rappelé ma femme et je cours la voir.

Ma femme était une pure croyante, elle a accepté la chose se remettant à Allah.

Elle me disait toujours arrête de rire sur les autres.

Nous sommes sortis de l’hôpital et le bébé avec nous.

Et en réalité jamais je ne me suis occupé de lui et je considérais même qu’il n’était même pas à la maison. Quand dans la nuit il pleurait beaucoup je quittais la chambre pour aller dormir ailleurs.

Ma femme elle s’occupais beaucoup de lui et l’aimait énormément.

Quant à moi je ne le détestais pas mais je n’arrivais pas à l’aimer.

Quelques mois passèrent, il marchait à 4 pattes d’une façon bizarre, puis quand il a commencé à se mettre debout et à marcher nous avons constaté qu’il boitait aussi.

Et là je l’ai encore repoussé.

Après lui ma femme eut deux autres garçons.

Ils ont grandis ensemble tous les trois.

Je n’aimais pas rester à la maison, j’étais toujours avec mes copains, en fait j’étais comme une sorte de jouet dans leurs mains.

Et ma femme n’est jamais arrivée à être épuisée de réveiller sur ça mais en vain .

Elle me reprochait toujours d’être plus prés des deux autres enfants et différent avec Salem (laîné) et cette différence je l’affichais.

Ma femme décida de le mettre dans une école spécialisée pour handicapé et j’y ai adhéré.

Mes jours n’étaient que : boulot, dodo, soirée, et bouffe et je n’avais pas senti les années passer.

Un jour, un vendredi je me leva le matin et j’étais invité à déjeuner, je me prépare pour l’occasion donc costumé, parfumé et je me dirige vers la sortie.

En passant par le salon j’ai entendu Salem pleurer à chaude larmes.

C’était la première fois que je le voyais pleurer depuis qu’il était bébé. 10 ans sont passés et jamais je ne suis allé vers lui.

J’ai essayé de l’ignorer mais je n’ai pas pu.

A partir de la chambre je l’entendais appeler sa mère.

Je me suis dirigé vers lui et je lui ai dit : Salem qu’as tu ?

Quand il entendit ma voix il s’arrête net de pleurer.

Et quand il sentit ma présence il commencer à chercher quelque chose avec ses petites mains.

En fait il voulait me fuir. Comme s’il disait au fond de lui après dix ans ce n’est qu’aujourd’hui que tu sens ma présence ?? que j’existe ?? où étais tu donc pendant ces 10 années ??

Il rentra dans sa chambre. Il refusa au début de me dire pourquoi il pleurer, mais par la suite finit par le dire.

L’enfant pleurait, parce que son jeune frère qui avait pour habitude de l’accompagner à la mosquée pour la prière tardait à venir et il avait peur de ne pouvoir trouver une place au premier rang. Il avait appelé son frère et appelé sa mère mais personne ne répondit. Ils étaient absents.

Je me suis mis à regarder ses yeux aveugles entrain de pleurer.

Et je n’ai pas pu continuer à écouter la suite de ce qu’il avait à me dire.

J’ai porté ma main sur sa bouche pour qu’il ne dise plus un mot. Et je lui demande est ce pour ça que tu pleure Salem ?? et il répondit que oui.

Sur le champ j’ai oublié mes amis et j’ai oublié l’invitation, et je lui dis Salem ne sois pas triste, sais tu qui va t’accompagner à la mosquée ? il répondit oui c’est Omar. Je lui répondit alors non ce sera moi.

Surpris, puis doutant que encore une fois je plaisantais il commença à pleurer. J’ai alors essuyé ses larmes et pris sa petite main et je l’ai accompagné.

Je voulais l’emmener en voiture mais il refusa il me dit que la mosquée est tout prés et qu’il faut y aller à pieds..

Je ne me rappelle pas de la dernière fois où j’ai mis les pieds dans une mosquée.

Mais je sais que c’est la première que j’y rentre avec une peur et un regret sur tout ce que j’ai durant toutes ces années passées.

La mosquée était pleine mais j’ai quand même réussi à trouver place à Salem dans la première ranger.

Nous avons écouté l’imam et il a fait la prière à côté de moi où plutôt en réalité j’ai fait ma prière à côté.

A la fin de la prière il me demanda de lui ramener un livre de coran.

Je trouvais ça bizarre puisqu’il ne peut pas lire alors pourquoi il demande le livre.

J’ai failli ignorer sa demande , mais je l’ai fait car j’avais peur de le blesser. Je lui tends le livre il me demanda d’ouvrir la page de la sourate « el kahf » " la Caverne ". quand j’ai trouvé la page il prend le livre et le met devant lui et il commence à lire la sourate avec ses yeux fermés.

Ô Allah mais il est entrain d’apprendre la sourate entièrement. J’ai eu honte de moi et j’ai pris un autre livre.

J’ai senti alors que tous mes membres tremblait, j’ai lu et lu et lu et j’ai prié Allah qu’il me pardonne et qu’il m’oriente vers le droit chemin.

Je n’ai pu supporté et j’ai commencé à pleurer comme un enfant.

Il y avait encore quelques fidèles qui faisaient des prières en plus j’étais gêné. J’ai essayé de me retenir.

Mais ces pleures se sont transformé à sorte de défoulement. Je n’arrivais plus à me retenir. Je m’extériorisais en fait.

Jusqu’à ce que j’ai senti une petite main se poser sur mon visage m’essuyant les larmes, et c’était Salem.

Et je l’ai pris dans mes bras.


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“ Aucun père ne peut offrir de meilleur cadeau à son fils que les bonnes manières. “

“ J’ai dix enfants et je n’en ai jamais embrassé aucun. Le Prophète d’Allah regarda dans sa direction et lui dit : On ne fera pas preuve de bonté envers celui qui n’est pas bon. “

“ Le meilleur d’entre vous est celui qui se conduit le mieux envers sa famille et je suis le meilleur envers la mienne . “

“ Chaque fois qu’un musulman dépense quelque chose pour sa famille , en espérant là une récompense (de la part d'Allah) , cela lui est compté comme acte de charité . “
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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 22:44

 L'amour d'un père

 


Un jeune homme s'apprêtait à obtenir son diplôme de fin d'étude.

Pendant plusieurs mois il avait admiré une belle voiture de sport exposée dans un showroom, et sachant que son père pouvait bien la lui offrir, il lui avait déjà dit que c'est ça qu'il voulait comme cadeau.

Comme le jour de la remise des diplômes s'approchait,le jeune homme s'attendait à voir des signes que son père lui avait déjà acheté la voiture. Finalement, au matin du " jour J " , son père l'appela dans son bureau et il lui dit comment il était fier d'avoir un fils aussi intelligent et formidable, et comment il l'aimait beaucoup. Le père tendit à son fils une boite dans un emballage cadeau, curieux mais aussi déçu le jeune homme ouvrit la boite et découvrit un beau Coran avec une couverture en cuir.



Furieux, il éleva la voix sur son père et lui dit : "Avec tout ton argent, tu ne m'offres qu'un Coran ??? " et claquant la porte, il sortit de la maison en laissant derrière lui le Saint Coran. Plusieurs années sont passées et le jeune homme se trouva couronné de succès dans le monde des affaires, il s'acheta une grande et belle maison et il fonda une famille merveilleuse.

Un jour, il se souvint de son père qui était devenu très vieux et se dit qu'il devait aller le voir, car il ne l'avait plus revu depuis le jour qu'il avait obtenu son diplôme. Juste avant de partir, il reçut un télégramme lui disant que son vieux père venait de mourir et qu'il avait cédé tous ses biens à son fils. Il devait donc partir immédiatement pour s'occuper de son héritage

Quand il arriva dans la maison de son père, soudain, son coeur fut rempli de tristesse et de regret...il se mit à fouiller dans les dossiers importants de son père et il tomba sur ce Coran à l'endroit même où il l'avait laissé il y a plusieurs années...il éclata en sanglots, ouvrit le Coran et se mit à tourner les pages.

Et comme il lisait ces paroles, une clé de voiture tomba d'une enveloppe qui était collée à la couverture à l'arrière du Coran.

La clé avait une étiquette avec le nom du concessionnaire du showroom, le même concessionnaire qui vendait la belle voiture de sport qu'il désirait tant avoir et sur l'étiquette figurait la date du jour de la remise de son diplôme, et ces mots...

TOUT A ETE PAYE



Combien de fois ne sommes-nous pas passés à coté des bénédictions d'Allah, simplement parce qu'elles ne viennent pas de la manière que nous le voulons ?



Allah n'est pas tel que nous Le représentons mais Il est tel qu'Il S'est présenté à nous !

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Hadith du jour

 

 

 

Excellence du mois de Ramadhan

 

Le Saint Prophète (saw) a dit : Ô vous les gens ! Nul doute, le mois d’Allah est venu à vous. Ce mois est pour Allah le plus noble des mois. Ses jours sont les meilleurs des jours, ses nuits les meilleurs des nuits et ses moments les meilleures des moments.

 

(Bihar al-Anwaar, vol 96, pg 356) 40 Ahadith Sur Le Mois De Ramadhan

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